Formation à la Gestion Mentale : Apprendre à apprendre

La Gestion Mentale KESACO ?
Il s’agit d’une démarche pédagogique au service d’un apprentissage plus conscient et plus performant et est basée sur une approche cognitive introspective. La gestion mentale permet de prendre conscience des processus que mobilise tout un chacun lors d’un apprentissage et d’en devenir davantage « acteur » ou encore de devenir «maître d’orchestre » de sa propre intelligence. Antoine de la Garanderie, précurseur de la méthode, a mis en évidence les séquences mentales qui permettent in fine d’ « apprendre à apprendre ».
La gestion mentale est utilisée à l’Ecole du Colibri pour apprendre aux enfants à nommer leurs stratégies mentales lors des exercices de recherche et de coopération.
Objectifs
A l’issue de ce stage, vous serez en capacité :– De mieux connaître votre propre fonctionnement mental, sous ses différentes facettes
– D’adopter des postures facilitant le travail mental des élèves,
– De guider l’élève dans sa mise en œuvre des gestes mentaux d’attention, de mémorisation, de compréhension et de réflexion
– De mener des Dialogues Pédagogiques avec les élèves, en individuel ou en groupe-classe, afin de faire prendre conscience à l’enfant de ses processus mentaux
– De comprendre certains obstacles à l’apprentissage et de proposer des moyens d’y remédier.
Les domaines d’application possibles de la Gestion Mentale
Individuel : Mieux connaître et comprendre son fonctionnement mental ; Construire ses propres méthodes de travail dans tous types de domaines (manuel, intellectuel, sportif, artistique etc.) tout en se sentant acteur ; Faciliter la communication interpersonnelle.
Pédagogique : Modifier le regard porté sur les apprenants ; Comprendre et analyser les difficultés d’apprentissage ; Accompagner l’apprenant à élaborer des stratégies mentales efficaces ; Conduire un dialogue pédagogique avec un groupe d’apprenants menant à une interactivité enrichissante ; Favoriser la communication et la tolérance.
Thérapeutique : Reconnaître et valoriser l’identité cognitive du patient quel que soit son handicap ; Enrichir le diagnostic et mettre en place des moyens thérapeutiques adaptés aux exigences mentales du patient.